Comment se libérer du manque affectif / dépendance affective
Faire-des-amis.com site de rencontre amicale 100% gratuit › Forums › Débats › Comment se libérer du manque affectif / dépendance affective
-
AuteurMessages
-
18 avril 2020 à 11 h 51 min #81393AnonymeInactif
Ayant vécu une enfance difficile propice à un manque affectif, j’ai fait des choix dans ma vie qu’on m’ont été vulnérables. Prisonnière d’un pervers narcissique, je me suis échappée avec mes enfants, mais les meurtrissures psychologiques ont été également sur les enfants. Le passé est le passé et quand j’ai réalisé qu’un de mes enfants avait une tendance à un manque affectif (difficultés de s’intégrer, d’avoir des amis, il est très perfectionniste), j’ai compris que je devais l’aider à grandir sereinement par différentes choses qui ne m’ont pas été données dans l’enfance, comme passer des moments de jeux avec lui, l’encourager, le féliciter, lui dire “je t’aime”, en exprimant nos sentiments car dans ma famille, rien, c’est vide, fermé et ma mère, au lieu de m’encourager à aller vers les autres, me dit : “tu es sauvage, tu avais très peu d’amis quand tu étais jeune, contrairement à ta soeur, tu ne te reconnais pas dans ton fils ???”
J’ai compris que pour aller de l’avant, il faut se séparer des personnes néfastes, ou du moins, ne pas les écouter. Pour vaincre ce manque affectif, j’ai décidé d’être moi-même, d’apprendre à connaître mes besoins, mes désirs, de m’aimer telle que je suis, avec mes forces et mes faiblesses, de fermer le passé et d’ouvrir le présent. Je décide aussi de ne plus culpabiliser, d’aller vers les gens qui me font du bien. Je décide de ne pas me laisser définir par les autres, mais de me définir moi-même.
C’est tout un travail de longue haleine, mais quand on sait qu’on peut changer et ne pas refaire ce que l’on a vécu dans le passé, c’est un grand pas vers l’avant, vers la liberté, celle de s’accepter et de s’aimer comme on est.18 avril 2020 à 17 h 32 min #81396AnonymeInactifBravo Floflo,
Ce n’est pas évident de reconnaitre la dépendance affective, surtout quand dans l’enfance les parents étaient aussi des dependants affectifs cad qu’ils étaient ensemble pour combler mutuellement leur propre manque, leur vide. Les enfants pensent alors que c’est de l’amour. Hors l’amour, c’est avoir appris à accepter ses blessures , se les soigner, et s’aimer alors soi-même pour pouvoir aimer l’autre en amoitié comme en amour.
S’en rendre compte est un énorme pas, après c’est de l’entrainement pour que cela devienne naturel .Apres c’est apprendre que l’on est pas parfait et que l’on peut rechuter dans cette dependance avec la difference que c’est devenu conscient.
Par exemple, je me demande si le syndrome du nid vide que connaissent certaines femmes quand tous les enfants ont quitté le domicile famillial n’est pas un ex de cette dependance plutôt que de l’amour, car quand on aime ses enfants on les aide justement à prendre leur envol.18 avril 2020 à 19 h 09 min #81400AnonymeInactifMerci Toupie, oui c’est vrai pour les enfants, on est heureux de voir leur épanouissement et heureux de les voir partir heureux faire leur chemin tout seul, mais si on ressent un vide et qu’on n’arrive pas à s’en débarrasser, c’est qu’on est dans la dépendance affective.
Et c’est vrai qu’il faut d’abord guérir de cela pour pouvoir vivre une vraie relation de couple (si on en veut une ! hi hi hi, moi non, c’est fini, je souhaite m’aimer pleinement et tendre vers un épanouissement personnel complet).18 avril 2020 à 20 h 34 min #81405AnonymeInactifAvec plaisir,
En fait je pense que l’on apprend à accepter sa DA, car elle ne peut pas partir c’est comme les émotions. La DA quand on arrive à la reconnaitre ,on peut lui accorder une écoute bienveillante et par la suite se rassurer sur ce défaut.
Ensuite par curiosité,c’est quoi ta définition de l’épanouissement personnel complet?18 avril 2020 à 20 h 58 min #81406AnonymeInactifbonjour oui il faut s’accepter sois meme, meme si ces plus facile a faire que a dire, quand les enfants partent de la maison, ces dure en effet moi perso qui suit très caline quand mon fiston et partie sa ma fait drole je sais que ces la vie qu’il est heureux avec sa copine, je n’ai jamais montrer mes sentiments quand il est partie, pour qu’il s’envole tranquillement de la maison car on fait pas les enfants que pour soit. Je pense que pour moi ces parce que j’ai un passée pas evident, mon père buvait, mon frere me prenait pour sont esclaves car il était plus vieux que moi il voulait remplacer le père absent et comme il faisait des fugues si on lui disait quoique ce soit mes parents lui céder. J’ai commencée a etre heureuse que quand j’ai quittée la maison, meme si mon frere ma poursuivit et insulter car il n’avait plus sont esclaves pour lui nettoyer sa chambre faire sont lit etc, mais bon je me dit qu’il y a toujours plus malheureux que moi ^^
19 avril 2020 à 15 h 03 min #81430AnonymeInactifPour moi, l’épanouissement personnel complet vers lequel je tends, c’est d’arriver à ne plus avoir de sentiments sur un homme qui me montre une certaine gentillesse, c’est me libérer de cela, et de ne pas retomber dans le panneau !! mais tu dis qu’on ne peut pas se libérer de la DA ? En ce moment, je relis le livre d’Eva Arkady sur la DA : le titre c’est “oser être soi pour s’en libérer”, elle parle bien d’une libération dans le titre, donc pour elle, c’est possible de s’en libérer… Elle parle également de l’acceptation de la solitude comme une période propice à l’évolution personnelle et je pense aussi que la guérison de la DA ne peut se faire que si l’on est seul et ainsi, apprendre à s’affirmer face aux autres sans se laisser “manger”, ça c’est pas facile, mais avec le temps, les amis aussi, on y arrive. Participer à des sorties, s’inscrire à des clubs, s’affirmer, augmenter notre confiance en nous, ça prend du temps, mais c’est l’essentiel, c’est la base pour se libérer de la DA.
19 avril 2020 à 17 h 42 min #81437AnonymeInactifBONJOUR,
Moi je vais répondre par rapport a ma propre expérience, j’ai grandit dans une famille nombreuse (9 enfants) et pas de câlin, et très peu de mots doux donc j’ai du m’adapter à la situation d’une “Mama” sicilienne, et je me suis rattachée aux moindre signe d’amour : les bons repas mijoté, le linge propre, les regards doux…bien sur j’ai eu beaucoup de déception d’amour dans ma vie, par dépendance probable affective, mais maintenant j’ai 54 ans, et je pense que sa fait parti de nous se besoin de l’autre, il faut juste l’imaginer sous plusieurs forme possible à commencer par des gestes ou des regards, des sourires, explorer la vie sous toute ses formes, pas seulement attendre l’affection d’un homme ou d’une femme qui ne serait pas dans le même contexte psychologique que nous, mais cherché en nous ou dans notre environnement, les plaisirs simple en somme (qui plusieurs plaisirs réunit peuvent combler le manque d’amourBisou affectif pour vous tous de ma part
19 avril 2020 à 18 h 12 min #81438AnonymeInactifBonjour Pattys, merci beaucoup pour le partage de votre expérience, cela me réconforte que je ne suis pas seule à avoir fait de mauvais choix, et c’est vrai que de voir la dépendance affective d’un côté positif nous évite de tomber dans la culpabilisation. Tout être humain, homme ou femme, a besoin d’amour, d’affection, c’est donc tout à fait normal qu’on ai besoin d’amis, de tendresse, de compréhension. Merci encore pour ce réconfort.
Amicalement.19 avril 2020 à 21 h 39 min #81444AnonymeInactifSalut Floflo,
Je suis moi aussi assez sujet à cette dépendance affective depuis que je suis jeune aussi bien vis-à-vis de mes amis que de mes amours et j’en ai eu une illustration assez criante suite à une rupture récente. J’ai heureusement eu la chance d’être entouré de gens bienveillant, mais ça n’empêche pas la souffrance affective.
L’important, il me semble, est d’en être conscient et d’essayer de comprendre les causes profondes de cette dépendance. Si tu la comprends pleinement, lutter contre elle n’est plus nécessaire.
En ce sens, je m’intéresse en ce moment à Krishnamurti qui pousse à réexaminer sans concession son mode de pensée. C’est une écoute pas toujours évidente mais extrémement enrichissante, je recommandeBon courage en tout cas 😉
19 avril 2020 à 22 h 33 min #81445AnonymeInactifSalut Fractal, merci pour la vidéo de Krishnamurti, je viens de l’écouter 20 minutes, pas évident en effet, mais très profond et très enrichissant. Ce philosophe est vraiment extrêmement doué pour aider à avancer dans la vie de façon beaucoup plus sereine et pour avoir une perception de la vie plus juste.
Bon courage aussi à toi.20 avril 2020 à 11 h 42 min #81456AnonymeInactifBonjour,
En effet je pense que la DA ne peut pas disparaitre( mais je n’ai pas lu le livre d’Arkady que je ne connaissais pas et je te remercie de cette découverte) et au contraire je pense qu’il ne faut pas chercher à la faire disparaitre: en prendre conscience, la comprendre peut être, et l’accepter surtout: lui laisser une place avec des limites pour qu’elle ne soit pas envahissante. Guérir son enfant intérieur de M.NABATI et l’emprise familiale de M.ANDERSEN m’ont aidés a prendre conscience de ma dépendance affective.
J’ai l’impression mais je me trompe aussi, Floflo, que ta définition personnelle de l’épanouissement dépend de la sensibilité à la gentillesse ou a une certaine gentillesse
Qu’est ce qu’une certaine gentillesse? et Penses tu alors que l’indifférence aiderait les dépendants affectifs?
Pattys, tout a fait d’accord , nous avons besoin de l’autre mais ou se situe la frontière avec un besoin sans dépendance? Ne plus avoir d’attentes?
Bonne journée20 avril 2020 à 14 h 19 min #81461AnonymeInactifBonjour Toupie, oui c’est tout à fait cela, ne pas être trop sensible à une (certaine) gentillesse, un homme peut se montrer gentil de différentes manières, comme par exemple, qui aide volontiers, souriant, avenant, doté d’un charisme, c’est touchant, mais il ne faut pas tomber dans cette dépendance d’avoir besoin de lui pour avancer et être heureuse, c’est cela à quoi j’aspire. Une autre question, tu as dit au tout début : “l’amour, c’est avoir appris à accepter ses blessures , se les soigner, et s’aimer alors soi-même pour pouvoir aimer l’autre en amitié comme en amour”. En fait, c’est quoi la différence entre amitié et amour ?
Je n’ai jamais connu mes parents ensemble, mon père est parti quand j’avais 4 ans et ma mère est restée seule, donc je n’ai jamais connu ce qu’est vraiment un couple… et c’est pour cela que je sens que j’irai d’échecs en échecs.
Non, je ne pense pas que l’indifférence aiderait les dépendants affectifs car ces derniers ont une mauvaise image d’eux et s’il y a de l’indifférence à leurs égards, cela ne peut être que néfaste. Si on travaille notre bonne image de soi par des activités avec d’autres, sportives, sociales, je pense que cela peut avoir du bon pour se sentir + forte face à une sensibilité que l’on peut avoir envers la gente masculine.
Merci aussi pour les 2 livres que tu m’as indiqués, ils m’ont l’air vraiment bien, surtout “guérir son enfant intérieur”.
Bon après midi20 avril 2020 à 17 h 33 min #81463AnonymeInactifFloflo
Pour la différence entre amitié et amour, je dirais que l’amitié est une grande histoire d’amour sans le sexe. Qu’on se confie aussi un peu plus dans une histoire d’amitié que l’on ne le fait dans une histoire d’amour.
Tu vas me dire que cela est paradoxal et que ce devrait être le contraire. En théorie oui mais en pratique non… Pourquoi ?
C’est une grande question. Je pense mais ce n’est que mon ressenti…. Tout simplement que l’on a peut être pas envie de montrer nos faiblesses à l’être aimé pour qui on a envie de montrer un pilier sur qui il peut compter, peur peut-être d’être jugé.
Chose qu’un ami ne dois pas faire…. L’ami peut ne pas cautionner mais ne dois pas juger.
Dans mon métier on dit,enfin dans le milieu où je suis
J’ai des valeurs mais pas de jugement de valeur
Sinon je reviendrai je pense sur le sujet de départ qui est intéressant et qui pour une fois interpelle enfin quelques uns😊
20 avril 2020 à 19 h 40 min #81470AnonymeInactifIl y a beaucoup d’amitiés ou de relations amoureuses différentes.
Chaque relation a une importance affective différente, en amitié ou en amour.Je ne crois pas qu’il y ait de canon à respecter pour pouvoir dire si oui ou non c’est de l’amour. A chacun, à force d’exploration, de découvrir ce qu’il considère être l’amour, pas besoin de modèle sociétal ou parental, mais il ne faut pas avoir peur et être curieux.
Ce qu’est l’amour pour moi n’est toujours pas clair. Mais quand j’ai pu le ressentir c’était un sentiment fugâce qui mêle admiration, confiance totale, gratitude, désir, tendresse, joie. Tout à la fois.La relation de couple et l’amour n’ont rien à voir. L’amour est un sentiment, la vie de couple un arrangement. Chercher l’amour là-dedans, c’est le chercher au mauvais endroit il me semble.
Est-ce l’amour ou la vie de couple qui te donne cette dépendance affective? Et pourquoi?De même, est-ce réellement une bonne idée de chercher l’amour en se forçant à s’aimer soi-même?
Tu dis là en réalité, “je ne m’aime pas, donc je vais me forcer à m’aimer pour pouvoir me sentir bien et aimer les autres”. Est-ce qu’on peut vraiment aimer quelque chose qu’on se force à aimer?Ne pas vouloir tout dire à quelqu’un est une chose. Mais ne pas vouloir dire les choses importantes qui nous tiennent à coeur est tout à fait autre chose.
Pourquoi ne souhaite-t-on pas le dire?
Par peur d’être jugé, et donc de perdre éventuellement l’affection de l’autre. Si c’est important pour vous et que l’autre vous aime réellement, il n’y a pas de raison d’avoir peur. Si on reste dans la peur de dire qui on est vraiment, alors, on ne fait que projeter une image de soi, c’est cette image que l’autre aime et on se force à être ce qu’on n’est pas.
Si maintenant, l’autre, pour une raison ou une autre, se rend compte que vous êtes totalement différent de ce que vous projetez, ce n’est pas dit qu’il comprenne…Et pourquoi souhaite-t-on être un pilier pour l’être cher ?
N’est-ce pas justement une manière, bien intentionné certes, de créer une dépendance affective?- Cette réponse a été modifiée le il y a 4 années et 7 mois par .
20 avril 2020 à 20 h 07 min #81474AnonymeInactifJe suis complètement d’accord avec toi, Fractal, un couple, c’est un partage complet, sans équivoque, sans jugement, dans l’acceptation complète de l’autre alors que un ami, on ne vit pas avec, donc c’est plus facile à gérer… et c’est plus facile d’être nous-mêmes car la vie n’est pas partagée.
Mais le souci, c’est que quand on est dépendant affectif, si l’on sent que l’autre nous pousse à être comme cela, on le devient (c’est ce que je suis devenue par 2 fois malheureusement, me laissant influencer), pour lui plaire, et on le fait inconsciemment. C’est après la rupture qu’on se rend compte qu’on était lié, enchaîné dans une relation qui n’était pas saine car l’autre ne nous acceptait pas comme nous étions. La dépendance affective est cultivée dans le couple quand l’un d’eux a besoin constamment de l’autre, sans lui, il se sent perdu. C’est pour cela qu’avant toute relation, il me semble qu’il faut booster notre confiance en nous, mais on peut aussi peut-être aller dans une relation de couple en le sachant, en l’expliquant à l’autre qui, de son côté, nous aidera à nous émanciper, en nous encourageant à vivre heureux sans l’attendre constamment. Il faudrait connaître la définition exacte de l’amour sans la DA, soit vivre dans une relation saine sans avoir cette DA. J’admire souvent tous ces couples qui tiennent pendant 40 ans ou +, c’est incroyable ! Je pense qu’ils ne connaissaient pas la DA…21 avril 2020 à 10 h 17 min #81479AnonymeInactifTu soulèves un point important je crois.
Accepter totalement l’autre, est-ce réellement possible?
Je ne suis pas sûr de l’avoir jamais fait totalement, peut-être parce que je n’ai pas encore trouvé la bonne personne ou peut-être parce que quelque chose d’autre se cache derrière: la volonté de contrôle, la peur de l’inconnu ou le besoin de s’affirmer, je ne sais pas trop.Mais est-ce réellement une bonne idée d’attendre que l’autre nous accepte complétement dans une relation amoureuse ?
N’est-ce pas ici une façon de remettre la responsabilité de l’amour de soi sur l’autre et donc de se créer une forme de dépendance affective ?
Si on s’accepte soi-même, pourquoi avoir besoin que l’autre nous accepte totalement ?Et si quelque chose nous gêne chez l’autre, n’est-ce pas au contraire une bonne idée de l’exprimer plutôt que de le garder pour soi. Car dans ce cas, on peut agir à deux sur cet aspect des choses: trouver un terrain commun sur lequel chacun se sente bien ou bien se rendre compte qu’il faut peut-être passer à autre chose pour le bien de chacun.
Pas que ce soit toujours agréable à vivre, mais ça me semble important.
Ce genre de situation n’est évidemment pas facile à gérer quand on connait une DA.Le problème est qu’on imagine souvent l’amour comme quelque chose de permanent, d’intemporel. Même sans mariage, on se fixe des schémas mentals préconçus qui nous impose d’aimer l’autre quoi qu’il advienne. Et on s’enferme dans cette prison qu’on nomme amour.
Aimer quelqu’un à un moment donné ne veut pas dire l’aimer pour toujours. Tout le monde évolue et souvent pas dans le même sens.Il y a des moment dans la vie où il est important de pouvoir sentir le support inconditionnel de quelqu’un. Mais ce sont des moment qui doivent rester le plus court possible sans quoi il y a risque de dépendance.
21 avril 2020 à 12 h 26 min #81482AnonymeInactifBonjour,
En amitié, on ne cherche pas à séduire, on est tel quel, dans l’amour, on cherche à séduire et dc on falsifie inconsciemment pourquoi? parce que l’attirance provoqué suscite un mélange d’excitation et de crainte à la fois? pourquoi suis je attiré par cette personne et pas par une autre? c’est inconscient ( des traits , des expressions physiques ou orales de notre mémoire ancestrale?). Voilà pour le démarragePour la continuité des relations amicale ou amoureuse, cela dépend de l’évolution personnelle des différents intervenants.
Certes il y a des couples qui durent en longévité mais ces couples sont ils réellement heureux, car il existe des personnes qui ont peur de quitter, de sortir de leur zone de confort, est ce encore de l’amour? N’est ce pas de la dépendance?
Pour les amis, je pense que l’on accepte plus facilement cette évolution car il n’y a pas d’enjeux.
Bonne journée21 avril 2020 à 16 h 09 min #81485AnonymeInactifBonjour,
Dans un autre débat, une personne a exprimé une définition qui m’a semblé très pertinente :
“Ce qui constitue l’amour ou l’amitié est fait de la même matière première, ce qui change entre les deux, c’est juste le mode d’expression. Un lien d’amitié peut-être tout à fait aussi fort qu’un lien amoureux. C’est une question intime au fond, puisque chaque lien est singulier et que l’intensité dépend du partage entre ces deux personnes. Personne d’autre ne peut dire si ce lien est plus fort ou moins fort. Je ne vois d’ailleurs pas quel intérêt il y a à hiérarchiser les sentiments.
Le lien amoureux exige l’exclusivité.
L’intérêt que je trouve au lien amical est de se suffire de l’unicité. Aucun autre lien ne pouvant être égal à celui vécu, cela épargne les sentiments toxiques comme la jalousie, la possession et autres, au profit d’une relation basée sur la réciprocité, la confiance, le respect.”En effet Fractal, attendre de l’autre de la reconnaissance, de l’acceptation de soi, dans une relation de couple n’est sûrement pas la bonne chose à faire, il faut apprendre à devenir indépendant face à l’autre, être satisfait de nous mêmes nous aide à ne pas être dans la DA, mais c’est pas facile à réaliser…
La relation d’ami(e) est plus saine et plus profitable pour un DA, compte tenu que l’on est libre, on a notre vie indépendante, donc la dépendance n’est pas créée ni cultivée.22 avril 2020 à 18 h 46 min #81494AnonymeInactifBonsoir,
de la théorie à la pratique , c’est tout un art l’indépendance affective.Les autres dépendances (tabac, alcool) me semblent à côté plus facile à gérer , de mon point de vue de non dépendante tabagique/OH , c’est logique . Mais comment le devient-on ? on ne nait pas avec le litron ds la bouche et on a pas la clope au bec in utero…
les relations interhumaines se nouent au fur et à mesure de discussion, de partage. Ces dernières doivent nous élever et pas remplir un vide.
le vide , je pense, on l’ a tous forcément en nous par nature, certains ne s’aperçoivent pas de son existence parce qu’ils sont hyperactifs, d’autres le sentent et arrivent à l’apprivoiser…Bonne soirée
22 avril 2020 à 19 h 53 min #81495AnonymeInactifBonsoir,
Oui c’est sûr que la dépendance à l’alcool ou tabac ou autre est une autre forme de dépendance qui est due sûrement, il me semble, à une souffrance, et pour y pallier, la personne prend une “drogue” qui calme sa souffrance, mais la souffrance est toujours là. Il faut, pour ces personnes, connaître la cause pour la soigner et ainsi, se libérer de cette dépendance.Pour moi également, il me semble que c’est plus facile à gérer que la dépendance affective, mais par contre, les conséquences à une de ces dépendances peuvent être toute autre…
22 avril 2020 à 21 h 54 min #81500AnonymeInactifMerci pour ce débat très intéressant.
23 avril 2020 à 0 h 58 min #81512AnonymeInactifSalut Toupie,
Qu’est-ce que tu entends par ce vide dont tu parles?
23 avril 2020 à 8 h 29 min #81515AnonymeInactifBonjour à tous,
Pour ma part, l’autre, celui/celle avec qui on partage sa vie, devrait être non pas quelqu’un sans qui la vie n’a plus de sens ou sans qui on se sent vide, mais le petit plus de notre vie.
Nous avons chacun nos loisirs, nos moments personnels. Et notre compagnon également. Aimer n’est pas étouffer sans l’autre, ni étouffer de l’autre ni étouffer l’autre.
C’est un savant équilibre de moments à soi et de moments avec l’autre. Où il n’y a pas de chantage, de sentiment d’abandon si l’autre s’éloigne. Nous ne sommes pas le loisir de l’autre, nous n’existons pas ensemble pour combler un vide.
Quand on dit qu’il faut s’aimer soi-même pour pouvoir aimer l’autre, il faut peut-être entendre -justement pour dépasser la colère, la jalousie etc- la compréhension de nos émotions, de ce qui se joue à l’intérieur de nous.
Qu’est-ce que la colère/jalousie/insécurité ressentie devant telle situation générée par l’autre dit-elle de vous ? Vos émotions parlent de vous et de vous seuls.
En découvrant pourquoi vous éprouvez ces émotions -négatives pour vous et in fine pour la relation- vous pourrez regarder avec indulgence les mécanismes, ce qui se joue sous ces émotions, et du coup apaiser ces émotions liées à vos blessures, liées à vos peurs et à vos insécurités affectives.
Pourquoi un pervers narcissique prend l’ascendant sur nous, c’est parce que notre image n’est pas construite. Pourquoi l’autre saurait mieux qui nous sommes, ce que nous valons ? Pourquoi son jugement serait juste, plus juste que ce que nous savons de nous au fond ?
L’autre n’est pas là pour nous donner de la valeur. Pourquoi rechercher chez l’autre ce que nous avons en nous ? C’est notre estime de soi qu’il faut reconstruire.
A partir de ce pilier dont l’un de vous parlait de trouver chez l’autre, il est possible de comprendre ce qui est instable chez soi et demande à être travaillé.
C’est légitime d’avoir besoin d’amour, de reconnaissance. Que quelqu’un nous prenne dans ses bras et nous donne de l’affection, ou nous remercie pour une bonne action, nous complimente ou nous critique -sans arrière pensée.
La dépendance s’installe quand on n’agit que pour avoir de l’amour, de la reconnaissance etc. Là sont nos fragilités, notre “bancalité”.23 avril 2020 à 18 h 22 min #81521AnonymeInactifBonsoir,
Pour moi, Fractal, le Vide peut être une question:
Quel est le sens de ta vie?
C’est aussi la feuille qui reste blanche même si tu es actif ts les jours
Pour les psy, c’est “Là ou quelque chose aurait pu être bénéfique, rien ne s’est produit”
On peut me répondre, tu as été à l’école, tu as eu un diplôme, tu as eu un travail, tu as eu des enfants, tu auras ta retraite( bon ça c’est moins sûr..) mais cela c’est un chemin que l’on t’a bien montré depuis que tu es tout petit ( parents, profs, société) Tu as accomplis cela ,bravo tu as une bonne note et après…Qui d’autre que nous même nous connait le mieux? on passe toute sa vie avec soi même
D’accord avec toi Anne mais alors par définition le couple à vie n’est pas possible, trop d’écueils, trop de rencontres possibles dans les activités différentes du partenaire, ou alors redéfinir de nouveaux contrats, au cas par cas, éclairés et consentis par les partenaires? avec le droit à l’erreur dans ces contratsBonne soirée
23 avril 2020 à 22 h 23 min #81528AnonymeInactifBonsoir Anne78,
Tu as parlé par 2 fois de “construction et de reconstruction” face à des personnes qui nous ont manipulés, et c’est une étape extrêmement importante pour ne plus sentir un vide en nous et donc, une vie sans but.
Après cette reconstruction essentielle, on n’aura plus besoin de l’autre pour être comblée, car on l’est déjà, on n’aura plus ce vide car on sera déjà rempli.
A partir de là, on pourra réaliser une vie de couple sans étouffer l’autre et sans nous laisser étouffer par l’autre car on aura les capacités pour résister à un “étouffement” (ex : manipulation) et on ne sera plus dans une relation toxique car on aura le discernement pour ne pas tomber dedans.
La vie de couple, c’est un équilibre entre les moments pour soi et les moments avec l’autre, c’est une très belle définition que tu as exprimée.24 avril 2020 à 10 h 02 min #81532AnonymeInactifAimer n’est pas étouffer sans l’autre, ni étouffer de l’autre ni étouffer l’autre.
C’est très juste, ça paraît logique mais c’est dingue comme la société a tendance à promouvoir l’inverse. Il suffit juste de taper “can’t live without you” dans un moteur de recherche pour se rendre compte du nombre de chanson qui normalise cela.
26 avril 2020 à 5 h 46 min #81566AnonymeInactifBonjour,
J ai découvert vos discussions hier soir, elles m ont troublée.
Dans un couple pour moi il y a à la fois une recherche d absolu et l acceptation de ce qu est l autre. L autre devient une évidence même si à la base il ne représente pas tout ce que nous aimons ou recherchons.
Je ne savais pas ce qu était la DA. Je ne sais pas vivre seule, je ne sais pas vivre pour moi et ce depuis toujours. Les personnes par rapport auxquelles je suis extrêmement vigilante, ce sont mes enfants. Je ne veux pas qu affectivement ils se sentent une obligation par rapport à moi. Pas d’obligation d appeler, de venir, de faire de cadeaux… ma DA, puisqu à priori on appelle ça comme ça, je la traîne depuis mon enfance “tu es tout pour moi”, et la réparer me paraît tellement difficile…26 avril 2020 à 6 h 37 min #81567AnonymeInactifBonjour,
il y un livre qui a l’air pas mal, le syndrome de tarzan de Pascale Piquet, pour la partie théorique…
Fanchon, c’est Sénéque qui disait ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles
Bon courage26 avril 2020 à 12 h 41 min #81574AnonymeInactifBonjour,
Je pense aussi avoir cette DA depuis l’enfance. J’ai divorcé d’un pervers narcissique et je suis remariée. Le problème est que j’aime tellement mon mari que j’ai le sentiment d’être devenue la perverse narcissique ! C’est horrible, moi qui n’avais jamais été jalouse, je suis monstrueuse avec lui, du coup, il me cache des choses pour ne pas avoir d’ennuis et évidemment ça ne fait qu’empirer mon attitude. Tout ce que je lui dis constitue une agression pour lui. Je ne sais plus comment rétablir la situation de manière harmonieuse. Non pas que le quotidien soit invivable, au contraire, je suis en fait quelqu’un d’extrêmement tolérant mais mon besoin de réassurance narcissique va finir par tuer mon couple. D’ailleurs, rien que d’y penser, je m’angoisse et là, paf, je repars dans des travers insupportables. Bref, je ne me reconnais plus. J’ai lu vos définitions de l’amour et chacune finalement correspond à une idée individuelle du bonheur, je pense qu’en réalité, il y a une multitude de définitions autant que d’individus.26 avril 2020 à 12 h 58 min #81576AnonymeInactifBonjour,
Nononim, tu parles de “Mon besoin de réassurance narcissique” : je pense que toute personne ayant une DA depuis l’enfance, a besoin de se reconstruire, donc c’est tout à fait normal et pour moi, ce n’est pas narcissique, il s’agit de retrouver confiance en nous.
Et cela, tu peux le développer tout en étant en couple, faire des activités sportives comme la boxe par exemple, développe extrêmement cette confiance en soi, le fait de travailler aussi dans un milieu propice, stable, nous aide à nous sentir valorisés et on en a tous besoin. Il existe également des stages en groupe pour le développement de la confiance en soi, regarde sur Meetup, c’est pas mal.
Il faut du temps pour retrouver cette confiance, mais le fait que tu prennes le temps de penser à toi, te permettra d’être moins jalouse par rapport à ton mari car tu sauras que tu “vaux” quelque chose, tu as de la valeur personnelle.
En effet, l’amour c’est compliqué à définir, je trouve que la définition de Anne78 est la mieux car vivre sans étouffer l’autre et sans que l’autre nous étouffe, c’est un grand pas dans une vraie relation de couple. Mais pour vivre cela, il faut que tous les deux aient une construction de soi solide.26 avril 2020 à 13 h 40 min #81578AnonymeInactifMerci Floflo, tu as raison, je dois me valoriser par une activité ou un lien social différent. En consultant une sophrologue j’ai réussi à surmonter ma jalousie mais il y a eu beaucoup de mieux et beaucoup de rechutes derrière. Du coup, j’ai perdu la confiance de mon mari sur ce point. J’aimerais vraiment en guérir définitivement car ce n’est pas dans ma nature, ce n’est pas moi. C’est presque une sorte de tricherie mais par le biais d’un dédoublement de personnalité !!! Parfaitement conscient bien sûr, ce qui rend les choses encore plus difficiles. Malgré les années qui avancent, je suis toujours très amoureuse, ce que je ne pensais pas possible dans la vraie vie. Je n’ai connu que des couples malheureux ensemble à commencer par ceux qui m’ont élevée donc ça me parait vraiment anormal. J’ai l’impression que je cherche le défaut car je (me) suis persuadée que le bonheur n’existait pas.
26 avril 2020 à 18 h 53 min #81587AnonymeInactifSalut nononim,
Si je peux me permettre quelques conseils.Déjà, ne fuis pas ta souffrance quand elle vient. N’essaie pas de l’oublier, elle ne t’oubliera pas. Regarde-la en face, sans jugements, sans excuses, en essayant de calmer ton esprit.
La souffrance met à nu nos méchanismes mentaux et, si tu es honnête avec toi-même, c’est une occasion pour toi de te connaître davantage. N’aie pas peur de ce que tu pourrais découvrir, on est tous fait des mêmes émotions contradictoires.La DA nous fait croire qu’on ne peut pas être heureux sans l’autre, que c’est la seule voie pour connaître le bonheur, qu’il n’y en a pas d’autre. Mais es-tu réellement heureuse en essayant désespéremment de t’accrocher à ce bonheur ?
Enfin, il n’y a rien de mal à envisager la vie sans ton mari. A l’envisager sérieusement. Voir à le concrétiser. Voir la vie sans lui peut te faire du bien à toi, peut-être aussi à lui si vous pouvez en discuter sereinement, et, in fine, à votre couple.
26 avril 2020 à 19 h 49 min #81590AnonymeInactifNononim, tu dis “j’ai lu vos définitions de l’amour et chacune correspond à une idée individuelle du bonheur, je pense en réalité, qu’il y a une multitude de définitions autant que d’individu” oui quand c’est de la DA car en fonction de notre héritage de l’enfance, nous avons tous des attentes.. qui finiront par déchirer la relation de DA entre deux dependants ou d’un DA et d’un amoureux non dépendant ou pourrir le couple qui reste ensemble pour des mauvaises raisons
26 avril 2020 à 20 h 24 min #81595AnonymeInactifJe n’ai certes pas bien exprimé ma définition de l’amour car je pense même plutôt que c’est propre à chaque couple… ceci n’engage que moi évidemment, mais je suis convaincue qu’un couple trouve son équilibre d’une manière qui lui est propre, raison pour laquelle il n’y a pas de recette toute faite. Nous avons tous des sentiments différents, quelque soit nos affects et notre passé. Pour ce qui me concerne, je sais que dans mon premier mariage, je m’inscrivais dans un schéma que je connaissais bien et j’avais parfaitement conscience de rester pour les mauvaises raisons et de ne pas aimer l’homme avec lequel je vivais. Aujourd’hui, ce qui est différent c’est que je me retrouve hors de ma zone de confort et face à un sentiment réel et unique, mais totalement inconnu. Paradoxalement, je n’ai pas peur de la solitude, je savoure même les moments que je peux passer seule et je les demande aussi souvent que possible. Ce qui me ronge est vraiment la jalousie qui naît surtout d’un énorme manque de confiance en moi. Là encore, s’inscrit un paradoxe : je ne m’inquiète pas de ne trouver personne d’autre et je me suffit à moi-même.
En fait, je suis peut-être un peu trop compliquée et remplie de contradictions !!! D’ailleurs, je fais état d’un problème qui n’est en fait que le seul point négatif, j’avoue qu’au quotidien, je ne me prends pas autant la tête car je vis une relation très harmonieuse. Du coup, c’est comme si je cherchais vraiment à détruire cet équilibre trop beau pour être vrai.30 avril 2020 à 18 h 32 min #81685AnonymeInactifBonjour à tous, merci floflo d’avoir ouvert ce sujet, je me présente Nicolas, j’ai 25 ans et je le questionne souvent aux séquelles laissées par les soucis de l’enfance. Je suis certain d’une chose, c’est que l’on a tous besoin d’affection quelque soit sa provenance, la famille, les amis, le travail, et que par cela nous avons absolument tous une dépendance affective à différents stades. Une des différence, c’est que lorsque l’on n’arrive pas à combler le vide on fini par y parvenir en utilisant ce qui est possible ou même ce que l’on nous propose.
Je me permet de vous faire part de mon avis, quelque en soit sa valeure, je pense que si vous percevez ce besoin d’affection auprès de votre enfant, ou proche, soyez très attentif lors de ses frustrations, lorsqu’il grandira et intégrera le monde des adultes petit à petit, des le lycée même. Ce qui façonne en grande partie un enfant, c’est son entourage. Une famille à un lien indéfectible, et donc pour presque tous, même s’il y a conflit avec ton père, ton frère, ta mère, ou tout autre personne de ta famille, tu sais que les liens du sang font qu’ils resteront la pour toi et inversement. Tes amis par contre, tu peux plus rapidement fréquenter des personnes qui sans le vouloir vont te faire découvrir et apprendre d’autres raisonnement et t’éloigner du type de relation de ta famille.
Donc pardon pour ce roman ahah, mais pour une fois que je trouve un endroit pour échanger sur ce sujet, alors ce que je voulais vous dire, c’est que vu que l’enfant cherchera à combler ce manque, il faut absolument que vous soyez ouvert d’esprit (dans la limite du raisonnable).
Moi même n’ayant toujours pas comblé ce vide qui a grandit autant par mes choix que par les épreuves de la vie.Je vous transmets mes pensées les plus sincères en ces temps difficiles pour tous.
30 avril 2020 à 20 h 04 min #81687AnonymeInactifBonjour Nicolas, merci pour ta réflexion très enrichissante.
En effet, l’ouverture d’esprit est primordiale pour pallier ce besoin affectif et c’est dans l’enfance que l’on tisse des liens forts, que l’on apprend à aller vers les autres et ainsi, qu’on s’enrichit, qu’on prend de l’assurance.
Ta famille, tu ne la choisis pas et des fois, malheureusement, elle ne t’aide pas, elle t’enfonce plutôt… alors que tes amis, tu les choisis et tu peux compter sur eux, ils ont leur vécu et tous ces partages avec eux ne sont que des liens qui t’aident à avancer dans la vie car en effet, comme tu le dis, on a tous besoin d’affection, un enfant surtout et des fois, la famille ne suffit pas d’où un manque.
Bon courage à toi aussi14 juin 2020 à 15 h 08 min #82609AnonymeInactifCe n’est pas simple de se défaire des schémas éducatif destructeurs de l’enfance pour devenir un parent bienveillant, soucieux du devenir de son enfant. Bravo à ceux qui se battent contre cet héritage familial qu’est la maltraitance (psychologique, physique…) afin de ne pas réitérer les erreurs du passé.
-
AuteurMessages
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.