La solitude

La solitude a surtout été affecté avec le COVID-19 mais là n’est pas le sujet ! Nous avons tous atterris ici car nous recherchions un minimum d’attention d’autre consommateur du web et moi donc. Nous espérons trouver parmi les gens présent sur FDA des sujets de conversations qui conjoint avec nos points communs propre à nous même. Plus nous grandissons plus notre cercle d’amis n’est plus le même. Nos exigences peut-être plus élevée. Et malgré tout ça après tout ce cheminement nous refaisons le même cycle de la recherche de l’amitié. Comment pouvons nous stagner cette ennuyante recherche “d’amitié ?” en trouvant le point commun parfait et relatif à nous-même utilisateur/trice de FDA ?

Je suis bien de ton avis aquecoucou

Concrètement toi arrives tu à créer des liens d’amitié ? Ou bien préfères tu être seul, ou disons peu entouré ? parce que finalement dans notre société les gens ne sont pas interessants….

Je mentionnais les gens peu intéressants par rapport à ton post précédent disant que les gens sont devenus cons. Mais tout le monde n’est pas à mettre dans le même sac, heureusement.

Je suis d’accord avec toi, et je vis là même chose. Comme toi je côtoie pas mal de gens mais ça reste superficiel, ça ne dure pas, et le kleenex qu’on utilise et qu’on jette, je vois tout à fait ce que c’est.

C’est difficile mais il faut rester confiant.

Hazeleyes
Evidemment que je ne met pas tous le monde dans le même même sac et qu’il reste encore des personnes qui s’intéressent au autres sans arrière pensées ou intérêts. Mais faut aussi admettre que la société à changée et pas forcément dans le bon sens.
Quand je parle de kleenex, c’est pour dire que certaines personnes utilisent les autres comme et, quand elles n’en ont plus besoin les jettent pour passer à autre chose.
Il me semble que les réseaux sociaux ont une grande responsabilité dans cette évolution.
En règle général je m’intéresse à ceux avec qui je peux avoir une discussion cohérente ou constructive, hors politique ou religion.
Ceci dit je reste confiant.

Bonsoir. Je me retrouve dans beaucoup de vos posts. La vie a fait que je me suis enfermée au fur et à mesure que les années ont passé. De nature timide et réservée, je ne sais plus comment entrer dans les conversations, je ne sais pas quoi dire aux autres. J’ai l’impression de n’être jamais à ma place. Je me sens pas bien dans ma peau et je pense que ça m’empêche d’aller vers les autres. En même temps, je ne sais pas comment faire pour rencontrer d’autres personnes. Je me suis inscrite sur ce site car à travers un écran, il m’est plus facile de parler. Bonne soirée à tous

Sandrine29
Ce que je vais dire va peut être te paraitre très con.
Malheureusement il n’existe pas de mode d’emploi pour entre dans une conversation, l’idéal est d’enter dans une conversation qui t’intéresse.
Il est plus difficile aujourd’hui (à mon avis) d’engager une conversation avec un ou une inconnu qu’avec quelqu’un qu’on connait, après il faut aussi que le sujet soit intéressant pour les deux.
Le fait d’être réservé n’arrange pas, je le conçoit et, je te dirai, bien venue au club, bien que j’ai eu la chance de pouvoir y remédier en partie.
Le fait d’être en rase campagne (j’en parle en connaissance de cause) n’arrange pas non plus, on “choisi” son lieu de résidence en fonction des envies et des besoins.
Il faut s’efforcer d’aller un peu vers les autres, bon je sais c’est facile à dire, après il faut choisir les bonnes personnes et les sujets de conversation.

Captaine Jack tout dépend de ton interprétatin

Bonsoir à tous,

J’ai une question pour celles et ceux qui sont dans cette même situation que moi à savoir : quand vous n’avez que 5 personnes qui vous souhaitent votre anniversaire, qui vous félicitent pour la naissance de votre enfant, qui vous demandent de vos nouvelles, qui “like” vos photos de profil Facebook, vous le vivez comment ? Est ce que ça vous sape le moral de voir que si peu de gens s’intéressent / s’inquiètent pour vous ? Est ce que vous vous en fichez ? Ou autre ?

Peut-être que tu confonds les amis avec des copains, les amis se comptent sur les doigts d’une main, le reste n’a aucune valeur

Pour moi c’est difficile j’ai envie de faire des choses mais personne avec qui les faire

C’est un peu pareil pour moi
Soit les gens sont trop loin pour partager des passions, soit ils sont pris, surtout s’ils ont femme et enfants. Les jeunes n’en parlons pas, oui oui et puis quand c’est le moment plus personne, ou alors ils préfèrent la cuite ou le bédo

Bonjour à tous. J’ai pris le temps de lire tous les post, et comme beaucoup, je me retrouve. Je ne peux pas dire si ça m’inquiète ou au contraire me rassure..
Dans tous les cas, je me dis que profiter de la possibilité qui m’est donnée ici de m’exprimer ne peut que me faire du bien.
Il y a 5 ans, j’ai cherché à savoir pourquoi en dehors de mon boulot, j’étais mal dans ma vie, un sentiment de solitude extrême, pourquoi je passais des week-end seul à attendre que le temps passe; en surfant sur le net, j’ai découvert que j’étais peut-être “borderline” et tant qu’à faire, pour avoir une réponse, j’ai passé des tests spécialisés dans un cabinet; à la fin de ces tests on m’a dit : vous n’êtes pas du tout borderline, mais les tests ont fait apparaitre des stress post traumatiques, voulez-vous que l’on approfondisse ? J’ai bien sur dis oui, et on a découvert que mon cerveau d’enfant avait, pour me protéger, “bloqués” les viols subis à 8, 9 et 11 ans… Mes parents ne se sont rendus compte de rien, nous étions en Côte d’Ivoire, et sans le faire exprès bien entendu, ayant eux-mêmes manqués d’attention et d’affection dans leur enfance, ont été maladroits, ce qui a provoqué une carence affective parentale, une blessure d’abandon et une douleur extrême que j’ai enfouis au plus profond de moi;
A partir de ce moment là, j’ai avancé, galopé, sans regarder derrière, sans prendre le temps de m’occuper de moi ni de vivre; je me suis réfugié dans l’action et le boulot; j’ai eu la chance de vivre quelques belles histoires avec quelques garçons (tiens tiens…); histoires que je me suis toujours arrangé à foutre en l’air; j’ai compris depuis que cette violence que j’avais enfouie, m’avait construit à “m’arranger” pour ne jamais être heureux, comme si je ne le méritait pas.
Autodidacte, j’ai créé il y a bientôt 15 ans, un commerce en région bordelaise; cette activité m’a permis de combler “le vide”, m’a occupé 60/70 heures par semaine et m’a permis d’avoir une “vie sociale”… Maintenant que ce commerce fonctionne, “le vide” est revenu;
J’ai 58 ans depuis fin janvier, la covid fin 2020 à déclenché une maladie des poumons (la bpco); peut-être un mal pour un bien puisque je n’ai pas eu le choix de commencer à m’occuper de moi; arrêt du tabac, contrôles de ma santé, consultations hebdomadaires avec une psychologue clinicienne avec laquelle les choses commencent à bouger, et pour finir, mon inscription ici, et ce long message à votre attention; avec au delà le fait de pouvoir m’exprimer, deux objectifs : permettre peut-être à quelques personnes de relativiser leur situation, et je l’espère sincèrement, nouer de nouveaux contacts sincères et amicaux; communiquer avec ceux qui le souhaiteront de Gironde ou d’ailleurs, et pourquoi pas rencontrer autour d’un café ou d’un repas des membres de la région et essayer ensemble de s’adonner à quelques activités, un sacré challenge pour moi…
Je vis dans le secteur de Villenave d’Ornon. Merci d’avoir pris le temps de me lire; dans l’attente de recevoir peut-être quelques réponses, PRENEZ SOIN DE VOUS. Stéphane.

Bonjour crocus
J’ai lu ton post, tu dis n’avoir qu’une personne qui s’intéresse à toi, je pense que c’est ce qui m’attends quand j’aurais ton âge à peu près, que mes parents seront décédés et que les autres amitiés se seront défaites.
Mais peu importe, je relativise évidemment, après avoir lu le post de crocky.
Je ne parlais pas spécifiquement de Facebook pour les souhaits d’anniversaires et autres événements, mais de la vraie vie.
Bonne soirée à tous, avec un sourire 🙂